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A propos de Caméras
Animales |
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« Deux livres aux Éditions Caméras Animales en ce début d'année. L'on ne peut parler de rafale, plutôt d'engins explosifs destinés à perforer les blindages les plus épais. Ce que l'on appelle les vaches sacrées d'une société engoncée dans ses prisons mentales. »
André Murcie, PIAI!, février 2018
Entretien de Nikola Akileus et Mathias Richard avec Patrick Cintas
Patrick Cintas, RAL,M n°84, 1er juillet 2013
« Caméras Animales est ce que je qualifierais de collectif militant. Dans l'ombre, et le silence, à travers les pierres et surtout dans vos yeux et vos oreilles (éditions / label), ils agissent, à la fois ancrés dans le contemporain, tout en en étant extrêmement décalés, à penser comme une humanité résistante de demain à leur manière. »
Elie Dabrowski, Ambient Churches, 26 janvier 2013
« Des fous complets. »
André Murcie, Alyteraturi.com, 11 janvier 2011
« Nous sommes en présence d’un véritable
tigre-sabre, d’une de ces bêtes assassines qui hantent
l’imagier collectif de la préhistoire, un de ces prédateurs
sans science ni conscience échappé du néolithique.
»
André Murcie, Bucéphale,
10 octobre 2005
« Viva
les jeunes qui se lancent dans le monde des livres de manière
PUNK ROCK ! » Laurence Rémila, Technikart
François
et Mathias Richard interviewés par Patrick Cintas sur Artistasalfaix.com
Patrick Cintas, Artistalfaix.com,
novembre 2006
« Les Caméras
Animales explosent le monde […] Pour donner à ressentir
l’Art comme mode de vie, les Caméras Animales publient
dès aujourd’hui un ouvrage aux confins de la fureur
et de l’intense et promettent ainsi des publications futures
susceptibles de bouleverser la perception des lecteurs, au contact
de tous les arts et de la littérature. »
Olivier
Stroh, Zone Littéraire
« Deux ouvrages
rares et courageux signent l'acte de naissance d'une maison d'édition
singulière, Caméras Animales.»
Philippe Robert, revue Mouvement n°32, p.39-40, chronique
intitulée "Sacrés"
« Face
au raz-de-marée de l’édition industrielle, quelques
résistants tentent courageusement de promouvoir une autre
éthique éditoriale. »
Alain Hélissen, Le
Mensuel littéraire et poétique n°335,
1er novembre 2005
« Alors
que certains dépensent leur énergie à "s'indigner"
de la littérature contemporaine française, sans proposer
en général de meilleure alternative, d'autres sont
au contraire actifs et explorent de nouvelles formes d'écriture.
La jeune maison d'édition "Caméras animales",
qui fêtera bientôt ses 3 ans d'existence, mène
ainsi depuis ses débuts "une recherche sur les devenirs
multiples de l'écriture". »
Le
Buzz littéraire, 25 avril 2007, "Réinventer les
écritures pour transcender les genres littéraires"
"Post-net
writing goes back to paper. "Caméras animales"
has great potential as feeding ground for literary specialists and
fans of the digital pleasures, underground literature, net communities
and rock'n'roll. The new generation of out-of-the-net and post-net
writers is definitely in."
Vesna
Gerintes, Holy Chic !, 1er juin 2007
« Les
éditions Cameras Animales ont montré depuis leur création,
à quel point, loin de toute littérature facile, de
fast-reading, ou de publication d’easy-writing,
ils s’attachaient à chercher, publier et défendre
des littératures minoritaires, littératures parallèles.
»
Philippe
Boisnard, 26 avril 2007, Libr-critik
Entretien
de François et Mathias Richard avec Philippe Boisnard, 7
juin 2007, Libr-critik
« Si pour
l’année 2004 je ne devais retenir que deux livres,
mon choix se porterait sur : Danse-Fiction de Ly Thanh
Tiên, et Musique de la Révolte Maudite de
Mathias Richard ; les deux œuvres sont publiées aux
Editions Caméras Animales.
Ni Poème, ni Roman, mais récit de deux expériences,
leurs ouvrages sont ancrés à travers la musique et
le cri, la danse et l’écriture, dans une gémellité
politique/éthique qu’à mon sens, on ne peut
éluder. »
Régis
Nivelle, Ecrits-vains.com
« Un projet ambitieux et généreux. » Interview
de François et Mathias Richard à propos de Caméras
Animales.
Le
Buzz littéraire, 21 mai 2007, "Des éditeurs pas
comme les autres"
Mathias et François
Richard invités à l’émission Des
livres et moi sur Radio
Béton (93.6, Tours), le 25 mai 2006, à propos
de Musiques de la révolte maudite et de Caméras
Animales. Interview réalisée par Emmanuel Mazodier
et Fabienne Parduvo.
Pour écouter l'émission, télécharger
le fichier )-ici-(
[86 Mo, 1h34]
Emission Des livres et moi, Radio Béton, 25 mai 2006
« Nous
sommes loin d’en avoir fini avec le groupe qui gravite autour
de la maison d’éditions Caméras Animales. »
André Murcie, Bucéphale n° 11, mai 2005
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A propos de mutantisme 1.3 |
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« C'est un livre collectif mais on pourrait presque dire écrit d'une seule main, il y a comme une symbiose.
C'est vraiment une revue à contrario de plein d'autres, même celles qui naissent et auraient des prétentions d'ensemble. Là ça fait plus qu'un ensemble, c'est un front, une ligne, on écrit dans nos lignes, comme des tranchées qui prennent du terrain à ce qui est dénoncé.
Ce livre unit des gens qui ne sont peut-être plus dans les mêmes histoires mais qui se reconnaîtront sans doute dans celle-ci. »
Charles Pennequin, 19 septembre 2023
« Aux protocoles qui nous gouvernent, plus ou moins insidieusement, les mutantistes (ou mutartistes ?) opposent d'autres protocoles de comportement et/ou de création. »
« Les machines comportementales visent à mettre en lumière, voire à perturber pour les plus ambitieuses, les fondements même de notre triste société capitaliste. »
« Ce bulletin 1.3 est tout autant un bilan qu'un programme, un manuel pour le "dérèglement de tous les sens", une mutation pouvant conduire autant à la folie qu'au (fou) rire - nos deux seules armes contre le capitalisme de plateforme, sous le règne duquel nous (sur)vivons. »
For ever mutant, Weirdaholic, 24 septembre 2023
« Il ne s'agit rien de moins que d'opposer un ensemble de mécanismes créatifs à un système de dispositifs destructeurs de la personne et des relations humaines. »
Patrick Cintas, RAL,M, 29 octobre 2023
« La poésie des mutants est celle du combat.
Cela fait quelques années déjà que leur « machines » nous proposent de choisir une autre forme de vie, de pensée et d'action que celles que nous suggèrent nos médiocraties. Rompre avec l'enfermement mental des corps et des esprits. »
Régis Nivelle, Lithoral, 20 septembre 2023
« Les pionniers du futur de "Mutantisme" »
« L'action remplace ici le spéculatif. L'impératif n'est pas de témoigner mais d'agir.
L'objectif n'est pas de produire des textes enchanteurs mais par ce qu'ils disent de soulever des possibles. »
Jean-Paul Gavard-Perret, L'intern@ute.com, 23 septembre 2023
« Une démarche collective de comportements et actions à appliquer et réaliser.
Tout cela est fait pour lutter contre l'enfermement. »
Jean-Paul Gavard-Perret, Lelitteraire.com, 24 septembre 2023
« Dispositifs collectifs pour une mutation de ce que nous sommes, pour l'altération de nos perceptions, pour l'invention d'un langage, et de son écriture physique, gesticulée, ou dans d'inventifs mécanismes, des adaptations machiniques. »
Marc Verlynde, La Viduité, 3 octobre 2023
« Voici le dernier volume d'un mouvement expérimental qui se nourrit de nouveaux imaginaires (SF, jeux vidéos, etc.), tout en s'érigeant à l'encontre des dérives ultra modernistes : contre un monde machinique, des « machines » poétiques inventives. À noter : la passionnante contribution de Charles Pennequin, qui revient sur sa trajectoire atypique. »
Fabrice Thumerel, Libr-critique, 10 septembre 2023
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A propos de 2020 : L'année où le cyberpunk a percé |
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« L'Histoire est un cauchemar (Joyce) ; mais Mathias Richard s'est réveillé. Le contenu de ce livre est tout entier de révolte intégrale contre le monde tel qu'il va. »
Guillaume Basquin, Libr-critique, 4 juin 2023
« La rigueur de vivre hors-cadre. Ce qui m'intéresse vraiment chez Mathias Richard c'est sa façon d'"écouter l'indicible avec soin". Avec une grande intensité, de celle qui impose une perpétuelle mutation. »
Marc Verlynde, La Viduité, 6 mars 2022
« Nous vivons Matrix, c'est une des idées sous-jacentes à ce petit livre, savant dosage entre réflexions, saillies humoristiques et récits désespérés. »
Weirdaholic, 26 février 2022
« C'est peut-être aussi de cette misère sans salut, de cette déréalisation dont parle ce texte mutantiste. »
Lucien Raphmaj, Instagram, 12 avril 2022
« L'on se retrouve non pas dans un poème mais dans un cri de poésie brute. Joue le rôle du filtre des cigarettes qui garde le témoignage des poisons qui le traversent. »
« Témoigne de ce mouvement insidieux, de cette marche sociétale qui depuis des années fragmente les rapports humains et réduit l'individu à lui-même. »
« L'on rit beaucoup en lisant cet opus et pourtant ce n'est pas drôle. Ce ''je'' n'est pas l'intumescence lyrique d'un moi hypertrophique, mais un ''je'' qui ne s'appartient pas, qui n'est plus lui-même, pas une girouette qui tourne selon le vent mais qui est traversée du vide du monde annihilé. D'où cette écriture que l'on peut qualifier d'impersonnelle. Mathias se raconte certes, mais surtout et avant tout, ce faisant il nous raconte. Ses errements sont nos errements. A croire qu'il a installé une caméra dans notre appartement et une autre dans notre tête. Et qu'il a tout recopié dans son bouquin. Lecture shaker et montagnes russes. »
Damie Chad, KR'TNT !, 19 février 2022
« Trans"-poésie & manuel de survie très humain. Ce livre d'audace reste à l'égal de ses textes précédents : ceux du corps et d'un psychisme où reste "de la place pour les nouveaux venus" »
Jean-Paul Gavard-Perret, Lelitteraire.com, 10 février 2022
« Cybernétique et confinement : pour une poéscience de la survie »
"Making-of" de Mathias Richard à propos de son livre, D-Fiction, 15 décembre 2021
« une lecture poétique, dans une impasse infinie dont l'issue n'existe pas, par définition cyberpunkie »
« Mathias Richard est un artiste : il a le don de l'aphorisme, celui de la trouvaille poétique et la clairvoyance de l'observateur à l'étroit dans ses confinements sanitaires, sociaux et littéraires. »
« Mais comme au music-hall, par un effet d'humour incorrigible, tout se termine en chanson. Sans promesse toutefois. »
« une vision à la fois héritée d'une vieille filiation et retournée mille fois dans sa tombe aux interstices d'écrits »
Patrick Cintas, RAL,M, 11 juillet 2021
« Ecriture post-automatique, certifiée vraie. »
« Ce livre est centré sur l'année 2020 et la décadence collective qui l'a accompagnée. »
« Les phrases lapidaires cernent le propos et font mal. »
« Page après page, le narrateur se maintient (...) dans le processus de passation aux autres. »
« Les passages fulgurants se fraient un chemin dans l'accumulation et le récit passe par plein d'états et de formes. L'ensemble fait sens et c'est un journal de bord qui change de ce qu'on a et qu'on va avoir. Il est un écho, une marque de ce qui s'est joué, (...) nécessaire dans l'ouvre produite depuis tant d'années. »
Sylvain Nicolino, Obsküre Digital Media, 9 juillet 2021
« Ne cherchez surtout pas un journal-de-confinement : l'année 2020 n'a pas eu lieu... En un temps où la modernité est en déroute, terrassé par le Drapeau Noir, voici un journal envide qui est aussi carnet de survie et recueil poétique. »
Fabrice Thumerel, Libr-critique, 11 juillet 2021
« Fièvres et expériences de la fièvre y sont consignées chaque fois comme l'imminence d'une fin et d'un commencement. De brèves prières, et toujours la puissance d'un chant, la volonté de chanter même si « Survivre, c'est assister au désastre un peu plus longtemps ». »
"Partout dans ces textes, une compréhension intuitive de la réalité. Pour Mathias Richard, avant de ne plus penser, de refuser de penser, de ne plus rien écrire, de ne plus rien vouloir [ou pouvoir] écrire, de ne plus faire parler le souffle ; avant de fuir les apparences, l'urgence est de girer dans les couleurs, de courir tel un funambule au-dessus du vide et de ses hypothèses. »
Régis Nivelle, Lithoral.fr, 13 juillet 2021
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A propos d'AdolescenZ |
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« Biotoputopie d'un autre monde, AdolescenZ a broyé et excité mon âme. C'est bien la première fois que j'écris à propos d'un livre, justement parce que ça n'en est pas un. Mon exemplaire a tourné entre mille mains lors d'une Rave immense, si bien que les pages sont à présent noircies et déchirées. Et je le vois, l'ouvrage, frémir de contentement. Poésie éclatée, essai philosophique fini au foutre, autant de raisons de ne pas perdre espoir, (mention spéciale à la page 21, immense) autant de raisons de continuer à écrire, furieusement, et de s'enivrer de tout ce qui, aux frontières du réel, nous permet à nous tous de survivre. »
Kiid Cathedrale, La chambre du robot, 11 novembre 2018
« S'il s'agit de donner le tournis au cerveau qui s'approche de ces lieux cernés par le rectangle pixelisé, on peut dire que c'est réussi.
Comme tous les textes publiés chez Caméras Animales, celui-ci est non seulement construit, mais le matériau de construction s'épanche comme un rêve de Nerval au point de rencontre de l'adolescenZ et des régurgitations télévisuelles, télépathiques et télémachiques.
C'est ici, dans le livre d'Aurélien Marion, que le message poétique cher à Jakobson traverse enfin l'esprit et que ce « slangan » trouve une de ses meilleures applications. »
Patrick Cintas, RAL,M, 6 mai 2018
AdolescenZ cité et recommandé sur le site Libr-critique.
Fabrice Thumerel, Libr-critique, 1er avril 2018
« Un regard-texte sur l'abondance d'images et de sons développés par l'industrie du porno. Les mots jaillissent comme des pop-ups, une éjaculation, une diarrhée psychanalytique et sociale. »
Sylvain Nicolino, Obskuremag.net, 18 mars 2018
« Accumulations de consonnes, névés d'entassements lettriques imprononçables. Une écritrure triturée de jeux de mots qui dévalisent et salivent les solives noires des maux-valises. Bringue brinqueballante de râles de sonorités sororales accumulés de culs mêlés. L'on s'amuse beaucoup. »
« Notre jeune Adolescenz pourrait faire comme tous les adulescents du monde : s'adonner à la sainte trinité sex drugs and rock'n'roll. L'a fait le choix du monothéisme. Sex only. Please do not disturb him with any other thing ! »
« une poésie qui donne dans la pormotgraphie »
« Porn-poésie jouissive parce que ce sont les mots qui poussent le plaisir du sexe. »
« Samouraï du kaos et guerrier du sexe, même combat. »
« Poésie excrémentielle. Métapolitique du sexe. L'acte sexuel en tant qu'acte révolutionnaire. Baise permanente. Le seul moyen de ne pas se mordre la queue. Guerre froide, chair chaude. Poésie, le rien à foutre. »
André Murcie, PIAI!, février 2018
« Ces deux textes sont comme deux « TRACTS » qui pourraient provenir d'un syndicat Acéphale dont les membres les plus actifs seraient Antonin Artaud, Sarah Kane, Joyce, H.D. Thoreau, François Richard, Guy Debord, Onuma Nemon, Mehdi Belhaj Kacem, Pierre Guyotat etc. »
« C'est brutal. Sauvage. Neuf. Vif. Vivant. »
« Deux textes qui s'embrassent et s'embrasent mutuellement sur l'urgence de faire entendre l'impérieuse nécessité de stopper le stupide process économico-social contemporain capitaliste dans lequel nos sociétés humaines sont empêtrées et crèvent à petit feu. »
Régis Nivelle, Lithoral.fr, 12 février 2018
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A propos de
Le salariat pue |
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« Ces pages constituent, à peu de choses près, le catalogue de l'enfermement.
Il faut aussi lire sous le texte (car c'en est un) les raisons de cette curieuse soumission à l'idée de survivre à l'existence. Un peu comme qui entre dans le confessionnal en sachant bien que la faute n'est grande que parce qu'on accepte de la commettre.
« tout est à refaire » vs « en faire le moins possible »
La pratique de l'écriture, sur ces lieux ainsi désignés, et contre toute attente, ouvre des brèches dans ce magma d'ordures et d'humiliations. »
Patrick Cintas, RAL,M, 22 avril 2018
« Un cri de haine contre le système salariat, écrit dans une langue crue, froide, sans fioritures. »
Fabrice Trochet, Mauvaisenouvelle.fr, 15 avril 2018
« Après toutes ces années, j'ai senti que j'arrivais à bout. »
« Le livre a été écrit dans le métro, matin et soir, au travail, aux toilettes, pendant les réunions, les pauses, les moments arrachés à l'ennui, la nuit durant les insomnies. Lorsque la tête commençait à éclater. L'estomac à brûler. »
« Rendre les coups. Tenter de. Respirer. Plutôt que de se suicider. »
"Making-of" de Beurk à propos de son livre, D-Fiction, 12 mars 2018
« Des mots qui font face aux maux, des cris sourds qui témoignent sociologiquement de ce qui peut animer certains zadistes, altermondialistes, marginaux, punks-à-chiens, ou tout bonnement ces gens qui haïssent leurs collègues. »
« Beurk n'arrive plus à sourire. Ses rêves n'existent plus. Il est broyé par la Machine (pensons au premier volet de Matrix), sans doute destiné comme d'autres à être un jour recyclés. Le contenu est donc noir, très déprimant. On a connu des employés mal en point. Là, on dépasse la jauge. »
Sylvain Nicolino, Obskuremag.net, 9 mars 2018
« Le salariat pue ne raconte pas tout cela. Il le crie. La littérature n'est pas faite pour tisser de belles histoires. Elle pose des bombes à retardement, elle dégoupille des grenades à fragmentations. Beurk lui assigne un seul but : détruire l'ignominie de l'exploitation libérale. »
« Une vingtaine de textes. Pas besoin de plus. Vingt constats définitifs. Vingt condamnations à mort. Un guide pratique de non-compromission. »
André Murcie, PIAI!, février 2018
« Ruez-vous sur le livre de Beurk, Le salariat pue, Caméras animales. »
Livre de la semaine sur Libr-critique + parution de deux extraits.
Fabrice Thumerel, Libr-critique, 4 et 25 février 2018
« Ces deux textes sont comme deux « TRACTS » qui pourraient provenir d'un syndicat Acéphale dont les membres les plus actifs seraient Antonin Artaud, Sarah Kane, Joyce, H.D. Thoreau, François Richard, Guy Debord, Onuma Nemon, Mehdi Belhaj Kacem, Pierre Guyotat etc. »
« C'est brutal. Sauvage. Neuf. Vif. Vivant. »
« Deux textes qui s'embrassent et s'embrasent mutuellement sur l'urgence de faire entendre l'impérieuse nécessité de stopper le stupide process économico-social contemporain capitaliste dans lequel nos sociétés humaines sont empêtrées et crèvent à petit feu. »
Régis Nivelle, Lithoral.fr, 12 février 2018
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A propos de
mutantisme : PATCH 1.2 |
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« Le postulat fondamental du mouvement : à la mutation anthropologique que nous sommes en train de vivre doit correspondre une révolution artistique à même de la comprendre et de l'accompagner. »
Fabrice Thumerel, "La révolution mutantiste est en marche", Libr-critique, juillet 2016
Émission Pénélope La MétaKronik (Radio Vassivière) en partie consacrée à mutantisme : PATCH 1.2 par des adaptations sonores de plusieurs textes du livre : extrait de l'émission
Pénélope La MétaKronik et 1ka, Radio Vassivière, juillet 2016
« Le manifeste Patch 1.2 vous demande d'abolir tous vos préjugés, de laisser à terre tous les lieux communs qui vous entourent pour mieux appréhender les liens entre poésie et science, les relations entre technique et littérature. » « Ses textes vous rendront ivres de nouvelles perceptions de la réalité. »
Olivier Stroh, Lettres, etc., août 2016
« Ce livre est un forme de passage. Il donne le moyen à tous d'exploiter la réalité autrement. » (Patrice Cazelles)
Interview de Mathias Richard par Yves Tenret et Patrice Cazelles
Émission "La vie est un roman", Aligre FM, mai 2016
« Le Mutantisme est une plongée dans un autre monde, créatif, politique, artistique et social, réflexif. Et pourtant, une fois immergé dans ce qui ressemble à de la science-fiction, la vérité se fait jour. Ce mutantisme n'a rien à voir avec le transhumanisme. C'est maintenant que ça se joue et qu'on peut, qu'on doit jouer avec les codes, les valeurs, les références pour s'en tirer.
Une plongée émancipatrice. C'est drôle, vivifiant, poétique et politique. »
Deux entretiens (avec Nikola Akileus, Marine Debilly, Mathias Richard, Annabelle Verhaeghe) et une chronique
Sylvain Nicolino, Obsküre Mag, mai 2016
« Les mutantistes défendent l'idée d'une autre manière de créer et de vivre ensemble, ouvrant des perspectives sociales, littéraires ou artistiques totalement novatrices. [.] En faisant sécession de toute idée préconçue, ces insoumis au prêt-à-penser ouvrent dans l'errance, dans la profondeur des instants et la vibration des lieux. »
Régis Nivelle, Lithoral, mai 2016 (texte paru dans le n°10 de la revue L'Intranquille)
« Comment non pas rester en vie dans ce monde-ci mais inventer une autre forme de vie et donc un autre monde ? »
Jean-Philippe Cazier, Diacritik, avril 2016
« Machines désirantes et expérimentales. »
Jean-Paul Gavard-Perret, Lelitteraire.com, avril 2016
« Un objet plastique, culturel, littéraire et intellectuel. Ça embarque, enferme, transporte. »
Tara Lennart, BooKalicious, avril 2016
« Le mutantisme appartient à une rare catégorie de l'intelligence et de la créativité. Il se forme d'une série d'observations d'une pertinence rarement atteinte de nos jours. Ouvrez ces deux livres au hasard, vous tomberez toujours sur une pensée. Vous n'échapperez pas à la pensée si vous ouvrez ces deux livres.
Il faut avancer, créer les conditions du chemin. À cela servent les modules, métamorphoses constantes de l'esprit aux prises avec le monde et ses habitants, et les machines, véritables outils de provocation plus que de création d'ailleurs. On a affaire ici à des acteurs. Avec un pareil arsenal logique et linguistique, le mutantisme est un foyer de création prometteur.
C'est dit en exergue : le mutantiste n'est pas adapté. Voilà en quoi il est original et... urgent. »
Patrick Cintas, RAL,M, mars 2016
« Un épatant manifeste, inventif et jubilatoire, où les mots-valises accélèrent pensée et plaisir du texte. »
Hugues Marchal, février 2016
« Ce volume riche d'une trentaine de contributions nous enseigne les rudiments d'une stratégie qui se veut opératoire. Ne pas détruire les machines, mais pervertir leur fonctionnement. Ce livre est urticant. Vous pousse dans vos retranchements. »
Damie Chad, KR'TNT!, février 2016
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A propos de
Sonopsies |
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« Caméras Animales joue les intercesseurs avec ce qui n'existe pas encore mais qui germe. [...] Allant chercher des pépites des deux côtés de l'Atlantique, cette première compil donnera une image sonore d'un mouvement qui fait et fera bouger bien des lignes. »
Jean-Paul Gavard-Perret, Les immortels, 13 mai 2014
« A smorgasbord or tasting party over 16 tracks of unusual, exotic sonic foodstuffs. [...] A worthwhile purchase for those looking for something blatantly off the wall »
Steve Mecca, Chain D.L.K., 22 octobre 2013
Entretien de Nikola Akileus et Mathias Richard avec Patrick Cintas
Patrick Cintas, RAL,M n°84, 1er juillet 2013
Sonopsies dans l'émission de radio "Laboratoire sonore" de Georges White
FM Plus Nîmes (103.1 FM) et FM Plus Montpellier (91 FM), mercredi 26 et samedi 29 juin 2013
Diffusion de 3 morceaux de Sonopsies dans l'émission "Une étoile dans la gorge" n°13 de Oslo Deauville
Radio Soleil 35 (95.3 FM), vendredi 3 mai 2013
« Sonopsies est un véritable et passionnant parcours du combattant question musiques expérimentales, avec de fortes tendances à bidouilles et une certaine propension à faire tremper la matière sonore première dans (au choix) un bain d'acide idéologique hilarant, une fontaine de jouvence pataphysique ou une étuve asphyxiante. »
Hazam Modoff, Heavy Mental, 20 avril 2013
« Complètement alternatif, totalement indépendant, hybride, cybernétique, industriel, psychédélique, poétique, mutant, paysages sonores, post-industriel, étrange, foutraque, expérimental, intéressant voyage sonore... »
Avec une diffusion du morceau "Saturnalia (Lights Return)" de Sun Thief
Émission Témoin Auriculaire, Radio Évasion (Finistère 100.4FM), avril 2013
Podcast de l'émission [37'10''-51'30'']
« Een mooie mix van autonome muziekstijlen. » / « A nice mix of different music styles. »
« A compilation of musicians who mix different styles and have a certain stubborn individuality »
Jan Kees Helms, chronique parue simultanément sur Ravage Webzine (néerlandais) + Vital Weekly n°876 (anglais), 6 avril 2013
« COUP DE SONDE CYBERPUNK : Kaléidoscope musical fortement radioactif et foutraque [...], viscéralement polymorphe, le disque se compose en fragments ultra ciselés qui parcourent ou accidentent de longues et épaisses coulées sonores, entraînant vers autant de tunnels et d'artères inconscients. [...] Psychotique et labyrinthique, Sonopsies est une traversée des genres et des formes qui aime à scruter les marges. Celles de la poésie mais aussi de l'électronique et du rock les plus mutants. »
Georges White, SWQW, 27 mars 2013
Entrée d'un morceau du disque ["Robot" de R3PLYc4N] sur la playlist de Radio Panik (105.4 FM à Bruxelles)
Radio Panik, mars 2013
« L'excellente compilation Sonopsies, "autopsies sonores", sortie sur le jeune et intriguant label Caméras Animales. »
Adrien Landivier, émission Glitch (Le Mouv'), 2 mars 2013 ("Les nouveaux prophètes")
Avec la diffusion de "Cylindricals" de SÆomulçi? Gonn?c [30'30''-32'17''] et des flashs-extraits dans le mix de l'émission de "jufamil N or N-O" de Awkwardist [00'45''-01'29''] et de "bobbledred'd Nature's pre-grim rims, you've prissy inSeenshpí" [43'25''-43'37''] de M. Savant Stifleson
Méryl Marchetti interviewé par Aude Lavigne à l'occasion de sa participation au disque collectif Sonopsies.
« Un CD foisonnant, une belle compilation de talents fort peu connus. » (Aude Lavigne)
France Culture, émission La Vignette, 21 février 2013 [écoutable en podcast sur le site de l'émission]
Diffusion d'un extrait du disque ["Manifeste mutantiste" de Mushin] sur l'émission "Dataplex : Free Poëtry mit Würst" de Damien Morel et Fabrice Jahk : écouter/télécharger le podcast
Radio Galère (Marseille), 12 février 2013
Infos détaillées sur le contenu de cette émission -ici-
« Sonopsies, une compilation très intéressante aux confins du rock et de l'avant-garde. »
Christophe Bourseiller, émission Electromania (France Musique), 5 février 2013 [35'45''-41'33'']
Avec la diffusion d'un large extrait de « Il paraît » de ElFuego Fatuo
Diffusion d'un extrait du disque ["Manifeste mutantiste" de Mushin] sur l'émission "BiP_HOp Generation" de Philippe Petit : écouter/télécharger le podcast
Eko des Garrigues (Montpellier), 31 janvier 2013
Jet FM (Nantes), 1er février 2013
Radio Campus (Grenoble), 2 février 2013
Radio Grenouille (Marseille), 3 février 2013
« Contre la vision mainstream, s'imposent ces ambiances sonores et ces textes sonorisés aussi fascinants qu'inquiétants. »
Fabrice Thumerel, Libr-critique, 31 janvier 2013
« L'ambiance marginale jusqu'aux ongles, mélangeant technologie et bestialité, instincts primaires et améliorations physiques et mentales, fleure bon le terrorisme musical. »
Elie Dabrowski, Ambient Churches, 26 janvier 2013
« It is very arty and avant-garde but above all, it simply rocks your electronic socks. »
Kai Nobuko, Yeah I Know It Sucks, 24 janvier 2013
« Il ne s'agit pas pour l'équipe et ses météores de créer un label supplémentaire de poésie sonore ou de musiques bruitistes, mais bien de fédérer des recherches, de l'instabilité, du questionnement et des limites. »
Sylvain Nicolino, avis complémentaire suite à l'article dans Obsküre Magazine #13, janvier 2013
« MUR DU SON POÉTIQUE »
Sylvain Nicolino, Obsküre Magazine #13, janvier 2013
« A true experimental extravaganza. It's creative, and a little bit mad. It's really hard to get a handle on, which is the hallmark of any good experimental music. Sonopsies is meant to open the ears to poetry, musical experimentation and the avant-garde, and is recommended for the adventurous, the curious and the brave. »
(« Un vrai festival expérimental. C'est créatif et un poil fou. C'est vraiment difficile à définir, ce qui est la caractéristique de toute bonne musique expérimentale. Sonopsies est destiné à ouvrir les oreilles à la poésie, l'expérimentation musicale et l'avant-garde, et c'est recommandé aux aventureux, aux curieux et aux braves. »)
Richard Allen, A Closer Listen, 6 janvier 2013
« Plasma musical expérimental très proche de la poésie, participant d'une même combustion lente mais radicale, ce fleuve sonore [...], se comporte tel un agent métamorphique agissant sur les organes des sens, tout en empruntant à la réalité ses essences primordiales ; contingence, nécessité et chaos. »
Régis Nivelle, Lithoral, 13 décembre 2012
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A propos du
Manifeste mutantiste 1.1 |
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Interview de Mathias Richard par Henri Landré sur Jet FM Nantes, évoquant entre autres le manifeste mutantiste (11 octobre 2014).
Spéciale Manifeste mutantiste 1.1 dans l'émission "Pénélope La MétaKronik" n°37 (Radio Vassivière), 30 octobre 2014
Extrait ici
Deux textes (par Méryl Marchetti et Josette Marty) autour du Manifeste mutantiste 1.1, parus dans la revue pédagogique Dialogue n°153 (juillet 2014) (Groupe Français d'Education Nouvelle)
« (...) Puisque la révolution n'est pas pour demain, changez de forme !
(...) Les mutantistes sont les survivants du "dressage de masse", par toutes les possibilités d'expressions. Ils créent de nouveaux genres. "Écrire n'est pas penser mais sculpter". Les propositions explorent l'infra-psychique, le fantastique, les limites du corps. Créations résultantes : machines imaginaires, écritures sous musique, arts cinétiques, communication extra-terrestre, le devenir-robot, labyrinthes inter-têtes de l'Internet, etc. Des "ateliers" expérimentaux sont proposés : machine à écrire musicale, pub-sonnet, écriture GPS, épilatrice à phrases, tag invisible, graff vidéo, systèmes émoticônes, overwriting. Des textes sont proposés à la lecture comme dans une revue.
Une façon de tenir compte des nouveaux environnements avec un résultat hyper-créatif.
J'imagine des ateliers d'écriture mutantistes, ça donnerait un souffle à cette pratique. »
Françoise Favretto, L'intranquille n°2, 28 mars 2012
« La rupture que marque cette publication, et qui fait date, c'est la traduction sans compromis du concept de devenir dans tous les domaines d'action de l'humain. "L'an 0 n'est pas encore advenu, l'an 0 est à venir." »
Un rédacteur mystérieux, Groupe français d'éducation nouvelle, GFEN Actus (en bas de la page), février 2012
« C'est un manifeste pour ceux qui veulent "penser et créer hors de ce qui est", se situant au cour du présent, du monde qui s'effondre, devançant et assumant une totale métamorphose. "La préhistoire, c'est maintenant." C'est aussi un appel à devenir des "mutantistes", à chercher de nouvelles formes, de nouveaux médias de création, à explorer un nouvel imaginaire. "Le mutantisme est l'émergence de formes malgré tout." Livre étonnant, détonnant, déstabilisant, proposant de passer en apesanteur. L'association de diverses formes de création (texte, images, vidéo, musique) témoigne d'une vraie liberté de recherche et de création. »
Christiane Rolland Hasler, Brèves n°98, mars 2012
« Au carrefour des sciences expérimentales comme de la science-fiction, des écritures à contraintes comme des arts électroniques, le mutantisme invente des machines qui produisent ce que l'on peut appeler des Agencements par Démultiplications Novatrices. »
« Parce qu'il relève de l'écriture réflexive (au sens optique et intellectuel du terme), qu'il est pratique poétique et invitation à la pratique, qu'il est à la fois subversif et inventif, ce manifeste est-il une anti-théorie subinventive. »
Dossier Libr-critique sur le Manifeste mutantiste 1.1, en quatre livraisons
Fabrice Thumerel, Libr-critique, novembre 2011 - février 2012
- Partie 1 (19 novembre 2011)
- Partie 2 (30 novembre 2011)
- Partie 3 (23 décembre 2011)
- Partie 4 (10 février 2012)
« "Manifeste Mutantiste" de Mathias Richard et al., ou comment ramener la littérature générale à un statut de prospectus publicitaire faisant la réclame d'un monde déjà révolu... »
Floriane Pochon, Mushin, 22 janvier 2012 [présentation accompagnant sa création radiophonique]
Création radiophonique (voix+sons) de Floriane Pochon (mastering : Tony Regnauld), d'après le Manifeste mutantiste [durée : 10mn] (précédée d'une présentation du livre par Floriane Pochon)
Vendredi 20 Janvier 2012, 23h30, émission diffusée simultanément sur les ondes de Radio Grenouille (Marseille), Radio Campus Paris, Radio Campus Besançon, Radio Campus Grenoble, Radio Campus Montpellier [dans le cadre de "La Nuit de l'Évolution", de 22h à 2h du matin]
« On tient là un "vortexte", un livre aspirant ses influences et les agglomérant anarchiquement pour créer autre chose, se dépassant constamment.
Une aventure tout autant qu'une réflexion et la conviction d'assister à bien autre chose qu'un effet de mode. »
Sylvain Nicolino, "Manifeste mutantiste 1.1 : Work in progress percutant", in Obsküremag.net, 14 janvier 2012
« Ce manifeste évoque un "Frankentexte" rock'n'roll.
Ces enfants de Philip K. Dick activent les possibilités nées de leur réunion.
Un refus de la passivité, un appel à la création libre. »
Sylvain Nicolino, Obsküre Mag n°7, 12 janvier 2012
« Instinct de survie, guérilla poétique, destruction du post-modernisme, monde réinitialisé, nouveaux modes opératoires et psychodiversité... (...) Une forme de brûlot atypique, poétique, remuant et captivant, comme ont pu le constater les spectateurs présents lors de son époustouflante lecture du 9 décembre 2011 pour le quinzième anniversaire de La Spirale. »
« Un ouvrage atypique, activiste sinon militaire, que l'on pourrait qualifier de manuel de survie en territoire zéro. À classer entre William S. Burroughs, Hakim Bey et les manuels de guérilla édités par la CIA au cours des années 70 et 80. »
Dossier La Spirale sur le Manifeste mutantiste 1.1
Laurent Courau, La Spirale, 29 décembre 2011
- Interview de Mathias Richard par Laurent Courau
- Présentation et extrait du livre
Mathias Richard interviewé par Aude Lavigne pour France Culture (émission La Vignette, 5mn)
France Culture, émission La Vignette, enregistrement le 6 décembre 2011 - diffusion le 13 janvier 2012 à 20h55 [écoutable -ici-]
« Entre la crasse commerciale et les ronrons des autres, plus rien n'arrive à l'esprit dans ce pays préoccupé d'abord par des rêves plus sommaires. (...) Manifeste mutantiste 1.1 est d'une profondeur étonnante. Et d'une actualité qui informe et qui fonde. »
Patrick Cintas, Revue d'art et littérature, musique, 15 novembre 2011
« Un bel endroit de recherche : littéraire et sociétale. (...) Ce manuel de mutantisme est un ouvrage curieux, alerte. Vivant. »
Guénaël Boutouillet, Livreaucentre.fr, 13 novembre 2011
« La poésie du futur sera-t-elle "mutantiste" ? Intégrant toutes les nouvelles modalités technologiques pour produire des formes inédites, Mathias Richard et son réseau publient leur manifeste. » Mini-interview de Mathias Richard, par Romaric Sangars.
Chronic'art n°74, "Mutatis mutandis", 12 novembre 2011
« un ciel vertical, un arc électrique errant que la pensée ne peut totalement appréhender. »
Régis Nivelle, Lithoral.com, 30 octobre 2011
« Voilà un manifeste qui nous a toujours paru aller de soi.
- Soit, ça va mieux en le disant.
la notion de Auto-hacking nous a semblé particulièrement pertinente
désormais, vous vous hackerez aussi vous même.
Pour cela, des techniques, des machines, techniques de compositions, de création, d'inspiration. »
TheBot, Dendrobate magnétique : "Mutantisme / Hackez-vous", 27 décembre 2011
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A propos de
La spirale de la parole |
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« Calmement le lecteur se prend une définition de l'écriture et du positionnement au monde qu'elle entraîne. Bergon trouve par l'écriture une échappatoire et une raison d'être indéniables. »
Sylvain Nicolino, "Guillaume Bergon - Nommer et exister", in Obsküre Magazine, le 31 mars 2011
Interview de Guillaume Bergon : "De l'écriture comme expérience"
Par Sylvain Nicolino, Obsküremag.net, le 30 mars 2011
Interview de Guillaume Bergon, suivie d'un article sur La spirale de la parole
« Il va de soi que je n'ai aucun conseil à donner à personne. Si ce n'est d'aller au bout de ses idées, envers et contre tout. » (Guillaume Bergon)
« J'y vois une fête à la fois de l'intellect et du chant intérieur par quoi commence l'exactitude des sensations » (Patrick Cintas)
Patrick Cintas, RAL,M, le 11 février 2011
« Disparition du verbe, sens de la formule, renversement dialectique qui affleure, rythmique et diction implacables.
Une sorte d'incantation chamanique perturbant en profondeur les repères du lecteur dans sa manière d'habiter le langage. »
Jane Sweet (GFIV), "La frénésie de la prose" in Le journal de Jane, le 5 février 2011
« Tournant le dos à la société de communication, l'idiot se perd dans l'infini de la langue. »
Fabrice Thumerel, Libr-critique.com, le 2 février 2011
Entretien vidéo avec Guillaume Bergon, réalisé au Musée de Paléontologie de Paris
Samuel Zarka, revue La vie de l'esprit, le 27 janvier 2011
« Il faut oser plonger dans le texte totalement, se laisser aspirer par la spirale des mots, afin de percevoir la pulsation d'un texte vivant, en recherche ("J'ai l'idée précise du langage que je veux créer." page 121), avançant sur un rythme obsédant comme autant de coups frappés à une porte. »
Christiane Rolland Hasler, revue Brèves, le 24 janvier 2011
« A lire et à délire. Incontournable. »
André Murcie, Alyteraturi.com, 11 janvier 2011
« Une transe chamanique s'ouvrant sur une sidération de la pensée.
(...) Texte derviche, d'un tournoiement au bord de l'à-pic du vide rarement approché. »
Régis Nivelle, Lithoral.com, 11 janvier 2011
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A propos de
Raison basse |
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"Le projet démonte la perception traditionnelle
de l’œuvre située à partir d’un auteur
singulier, comme il brise l’idée de genre défini
et authentifié. L’ensemble donne l’impression
d’un fatras de mots suinté du chaos contemporain comme
s’il s’agissait de son propre retour d’acide.
Ce sont tous les objets de la modernité qui acquièrent
le rang d’éléments essentiels habitant ces déviances.
(…) Un bruit collectif et singulier, un bourdonnement de mots
affleurant à la surface du bruit commun, un grésillement
poétique parasitant le spectaculaire en boucle. « Nous
» sommes toujours vivants."
Romaric
Sangars, Chronic’art n°37, 1er juillet 2007
"Ici
pas de poudre aux yeux, chaque gramme vaut son pesant d'audace.
La bouffée délirante survient en rafale, jubilatoire
et libératrice, tant l'objet qu'on tient dans les mains revêt
des formes fécondes. Trente textes donc, dont les singularités
rappellent que les atomes de la littérature sont constitutifs
d'une seule et même matière, celle du nous qui s'accouche
au terme de l'ouvrage. Raison basse est un manuel de désapprentissage
à l'égard du lecteur moderne. L'écriture contemporaine
vit, pour qui sait « dé-lire »."
Antoine
Dole, CitéGay.com, 18 juin 2007
"Poésie
sonore, cut-up, e-mail littérature, prise de position et
pavés dans la mare, Raison basse est de ces livres
qui, s'ils ne changent pas le monde, ouvriront des fenêtres
sur des horizons bien plus aventureux que n'importe quel titre chez
................ (placez ici le nom d'un de vos éditeurs
haïs). Les deux éditeurs ont pioché
dans des revues, sélectionné sur Internet ou convoqué
des textes inédits sur la base d’un même refus
de la littérature dominante, pour leur volonté de
se placer hors du jeu social littéraire. Une bibliothèque
des exclus ?"
Sylvain
Nicolino, Obsküre.com, 18 juin 2007
"Raison
basse ne ressemble à rien de connu. Musicalement, Cage
peut-être pour le coté aléatoire de la construction,
enfin ce que l’on en voit résulter & qui pourrait,
pourquoi pas, ressembler à une sorte de Livre des naissances
avortées & des mutations constitué de planches
toutes impressionnées d’idéogrammes, par les
tracés d’une pensée méta-critique de
la philosophie de l’histoire & de la servitude. Premier
essai : Inégal, mais politiquement & poétiquement
rageur."
Régis
Nivelle, Artistasalfaix.com, "Raison basse, pour une
pensée organique", 15 juin 2007
"Raison
Basse convoque tout ce qui a su résister au rouleau
compresseur de la raison, cette vie dans les plis où se dérouleront
les combats que devront désormais mener la littérature
et la poésie. Ambitieux mais sans arrogance, Raison basse
est un objet littéraire surprenant, excessif et radical,
aux antipodes de tout esprit de chapelle : indispensable pour qui
ne craint pas de prendre le pouls d’écritures fébriles,
en mutation."
Axelle Felgine, Carbone
n°4 (novembre 2007) / lien
vers article complet
Entretien de
François et Mathias Richard avec Philippe Boisnard, autour
de Raison basse.
Libr-critik, 7 juin 2007
Entretien repris dans la revue Carbone (2007)
Interview de François et Mathias Richard à propos
de Caméras Animales, où Raison basse est
évoquée en filigrane.
Le
Buzz littéraire, 21 mai 2007, "Des éditeurs pas
comme les autres"
"Compilation de textes écorchés et nihilistes.
Littérature anarchiste, hurlements, écriture du mal-être,
jeux de sonorités dans la violence. Cracher sur une société
qui n’offre pas de consistance. Ecriture brisée, paragraphes
grimés de slashs, crochets, changements de police. Suicide
collectif. Une révolte sans aucun doute justifiée,
mais fardée d’un dédain et d’une prétention
qui n’encourage pas à terminer la lecture."
Clémence,
Papercuts, 23 mai 2007
"Raison basse : vaste encyclopédie ou bible
moderne de la créativité littéraire. Plus qu'un
livre, une expérience mentale et épidermique. Un époustouflant
tableau à la fois hurlant, bouillonnant mais aussi étrangement
cohérent. Ces flux, de prime abord parallèles, finissent
par converger et prennent alors un nouveau sens "par torsions
et bonds psychiques". OVNI littéraire, recueil collectif
explosif, l'initiative s'avère donc extrêmement riche,
accessible et ne manque pas d'audace. Cette lecture ébouriffe
très sérieusement les neurones et s'avère très
enthousiasmante !"
Le
Buzz littéraire, 25 avril 2007, "Réinventer les
écritures pour transcender les genres littéraires"
+ extrait du livre (1) : Sylvain
Courtoux
"Le but d’un tel ouvrage, s’il est bien de créer
une forme dynamique évolutive qui traverse l’ensemble
du livre, toutefois, il tend aussi, et surtout à montrer
les possibles mutations de la pensée/écriture en contact
du monde, en contact d’autrui, en contact avec elle-même.
(...) Le but d'un tel ouvrage : proposer des gestes de pensée,
des expériences possibles de la pensée, bien souvent
évacuées d’emblée des milieux éditoriaux,
et donc de la visibilité."
Philippe
Boisnard, 26 avril 2007, Libr-critik
"Les
textes se mélangent ainsi comme s’ils parlaient d’une
même voix, Raison basse est une bible, une odyssée
moderne. Nous sommes dans une épopée monstrueuse,
gigantesque, vertigineuse. Historique. [...] On est à la
base même de l’écriture, dans l’invention
permanente, première, originelle et originale. [...] Raison
basse est un champ pluriel, audacieux qui, à lui seul,
peut se vanter de parler du monde, bien mieux que les intellos,
les philosophes, les politiques et les vulgarisateurs de notre époque.
Ces sensibles, ces fou-furieux prolixes sont certainement, bien
que mutants et rebelles, les véritables écrivains
de notre siècle."
Frédéric
Vignale, Le Mague, le 17 avril 2007
"Raison
basse est le premier manifeste d'importance du siècle."
André
Murcie, Primipile n°1, avril 2007 : 1
2
3
"Raison
basse n’est pas un livre hiérarchisé et
policé, c’est au contraire une association de malfaiteurs,
dans le sens de ces grandes compagnies de routiers du moyen-âge
qui s’aggloméraient par opportunité. C’est
ce qui se rapproche le plus d’une île de la Tortue littéraire,
d’une Arcadie de Frankenstein entre surmâles et suffragettes,
lycanthropes et cyberdogs."
Tristan
Ranx, Nanochevik, 13 avril 2007
"c’est
un bouquin magnifique, orné d’une couverture superbe,
et rempli de textes bizarres, expérimentaux, tarés,
chelous, brillants, idiots, poétiques..."
Konsstrukt,
Newsletter, 1er mai 2007
"Les
éditions Caméras Animales publient Raison Basse,
processus collectif insurrectionnel pour une littérature
vivante, mutante, au-delà des genres."
Le
Mort-qui-Trompe, avril 2007
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A propos de CREVARD
[baise-sollers] de Thierry Théolier |
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Thierry Théolier est interviewé
par Abdel Bounane et lit un extrait de Crevard à
l'émission
Minuit/Dix sur France Culture
Pour écouter son passage dans l'émission, télécharger
le fichier )-ici-(
[mp3, 4,6 Mo, 6.38mn]
Emission Minuit/Dix,
France Culture, 27 février 2007
Thierry
Théolier interviewé par Jean-Claude Caillette, à
l’émission Le Lire & le Dire sur Radio
FPP (106.3, Paris).
Pour écouter l'émission, télécharger
le fichier )-ici-(
[mp3, 41,1 Mo, 30mn]
Emission Le Lire & le Dire, Radio FPP (106.3, Paris), 2 janvier
2007
«
De l’hygiène du livre par le World Wide Web dans l‘univers
ruiné de la culture.
Paradoxalement, la liberté critique est l’objet de
valeur sublime, le plus recherché, des sociétés
qui la font disparaître. »
Aliette
Guibert, Sklunk.net, avril 2006
«
Je ne suis pas incassable, mais irrécupérable ! »
Interview vidéo de Thierry Théolier par Thomas Clément
Clement.blogs.com,
19 juin 2006
«
Less than punk » : interview de Thierry Théolier par
Yan Céh
Upstreet
n°58, 1er mars 2006
« L’ode
et l’attaque vont de pair, les remises en question abondent,
les retournements sont imprévus. Le montage de ce corps verbal
de bric et de broc est un hymne au devenir de l’écriture,
au rejet du récit autobiographique classique, en phase avec
un univers noir, punk, crevard. (…)
Et c’est le dilemme assumé qui est le plus beau à
mes yeux (en dehors de la langue évidemment !) : ce cri du
cœur de l’homme aspirant à être aimé,
à faire partie, à s’intégrer dans ce
qu’il exècre. (…) Hésitations et pas
suspendu, un pied au-dessus du vide terrifiant d’une partie
de la pensée contemporaine, l’autre au-dessus d’un
hypothétique retour au néant ascétique, c’est
dans cette force du non-choix que Th.Th se révèle
le plus parlant, le plus touchant. »
Sylvain Nicolino, Obsküre.com,
10 février 2006
Web-émission
de Philippe Boisnard sur le site Libr&critiK,
consacrée à CREVARD [baise-sollers].
Durée : 14mn. (6 janvier 2006)
Création
de Charles Pennequin sur cette émission de Philippe Boisnard.
« Le cri
d’un crevard de la hype »
Arnaud Sagnard, 20 Minutes
(Grand Paris), 5 janvier 2006
THTH interviewé
sur la radio Le Mouv’ par Laurence Peuron
2 janvier 2006, Le Mouv’
Ecouter
la première partie de l’émission (il
nous manque la seconde partie)
Thierry Théolier
« Je suis un écrivain qui n’écrit pas
» : interview de 3 pages de Thierry Théolier par Claire
Fercak dans La Presse littéraire
« L’objet-livre de Thierry Théolier est trop
original pour passer inaperçu et ne pas vous brûler
les mains. »
Claire Fercak, La
Presse littéraire, 15 décembre 2005
« En v'là
un objet littéraire tout à fait hors du commun et
proprement inqualifiable. Pamphlet poétique? Poésie
guerrière? Farce provo ? Théorie artistique? Performance
? Happening littéraire? Laboratoire anti-hypeux ? Ce texte
inclassable de Thierry Théolier échappe brillamment
à tous les genres qu'il dénonce. Loin des artifices
parisiens, branchouillés, VIP, pubeux, artistes à
la mode et fashionistes de tous bords, Théolier, THTH pour
les trolls ses amis, fondateur du célèbre syndicat
du Hype, entreprise d'incruste et de dérive fêtarde
pure et non sponsorisée, THTH nous dénonce radicalement,
dans un style neuf et déjanté les multiples turpitudes
marchandes ou snobs des jolis mondains et nous aphorisme joliment
quelques vérités essentielles. Vindicatif, barré,
insultant, drôle, nominatif, dernier des mohicans, dyslexique,
parodique, hilarant, unique représentant de son espèce,
ce livre l'est à plusieurs titres, par sa langue post post
jeunes gens modernes, son style éclaté, son humour
subtilement décalé ou kalachnikovien mais aussi par
sa distribution originale et loin du merchandising général
: le livre se commande uniquement chez votre libraire ou sur le
site www.camerasanimales.com. »
Agnès Léglise, Rock’n’Folk,
15 novembre 2005
Jeudi 10 novembre
2005 : Présentation
enthousiaste du livre par Agnès Léglise dans l’émission
Campus (France
2) de Guillaume Durand qui s’exclame « mais c’est
la hype de la hype, c’est la hype au carré ! »
« Objet
littéraire pas vraiment identifié! » : Coup
de cœur sur le
blog de l’émission
« J’ai
pris contact avec la résistance. […] Crevard est un
ouvrage expérimental, un pur fruit de ses diarrhées
web, un OVNI bourré d'inventions stylistiques. Ce mec est
un pur, totalement désintéressé, passionné
de littérature et d'art contemporain. Un parasite du système
au sens noble du terme. Qu'il le veuille ou non, il est rock n'roll
avec son bonnet "PARIS" et son sac E.D (L'épicier
discount!). »
Thomas Clément, clement.blogs.com,
2 décembre 2005
« [Crevard]
est l’un des premiers signes de l’affrontement du blog
contre le livre. »
Christophe Greuet, Culture
Café, 28 novembre 2005
«
Le Crevard, c'est le CAILLERA DE LA LITTERATURE
Point BARRE.
signé LA Brigade »
Olivier Stupp, Gonzo
«
Lire Crevard, c’est comme recevoir un pipi de cheval sur la
tête, ça réveille. Et pour naviguer à
vue dans les récifs et les roches cyannées de la hype,
mieux vaut être aware comme l’affirme le philosophe
belge Van Dame. THTH surfe en compagnie de dangereux flibustiers
tels que le Baron Corvo et Arthur Cravan. Mais à l’ombre
des mots, brille le regard désespéré de Martin
Eden, flottant, main dans la main, avec le grand corps noyé
du poète boxeur. Chevauchant la vague sans se laisser emporter
par celle ci, THTH est un surfeur de l’extrême Il faut
avoir la force d’un Zarathoustra pour résister aux
sirènes de la Hype et THTH tel un Ulysse enchaîné
avoue parfois se sentir entraîné dans le mælstrom…
La description d’une soirée terrasse à Libération
est digne d’une traversée de la mer des Sargasses en
pédalo. C’est toute l’institution de la gauche
caviar bien-pensante qui en prend un coup dans le cul. »
Tristan Ranx, Le
Gluon, 24/11/0
« Crevard
est l’espèce de carnet de bord de cet agitateur original,
anti-livre transféré de la Toile sur le papier, anti-best-seller
mais aussi baise-sollers intempestif, interactif, proliférant.
»
Alain Hélissen, Le
Mensuel littéraire et poétique n°335,
1er novembre 2005
« Thierry
Théolier est soudainement entré en littérature.
La grande. Celle qui reçoit son nom de baptême après
son adoption par les dictionnaires. Théolier a rejoint les
pirates de haute mer, de Jacques Vaché à Grégory
Corso. Comme eux, il a déréglé le réel
par le faux-semblant. Avec « CREVARD [baise-sollers]
», il prend à revers toute sa génération.
Il sera celui qui a regardé par-delà l’écran.
Lisez-le sans perdre votre temps à fantasmer sur le prochain
Goncourt. »
Gérard Guégan, Sud-Ouest
Dimanche, 9 octobre 2005
« C’est bon et revigorant comme un rire nietzschéen.
Bien sûr pour le style il ne s’est pas sévigné
aux quatre veines, il s’est plutôt électrifié
au manifeste aux paupières de jupe. Le livre le plus intelligent
que j’ai jamais lu sur notre société médiatoc.
L’artmodernité ne sera plus ce qu’elle était.
Bulldozart au pays de la vartcuité. »
André Murcie, Bucéphale,
10 octobre 2005
« Thierry Théolier pousse dans ses retranchements tout
ce qu'il touche. Hier le web, aujourd'hui le papier, demain... allez
savoir. (…) "Crevard" échappe à tout,
belle machine rutilante à broyer du concept pour en faire
les confettis de la grosse teuf négative à laquelle
il nous convie. »
Troudair,
le 24 février 2006
« L'animal
a condensé ses cyberdialogues en langue novo-SMS et à
l'urbaine poétique dans un livre. »
Christophe Riedel, TGV
Magazine, novembre 2006
« Thierry Théolier : Pourquoi, le livre ? »
Question-interview par Arnaud Jacob, Fluctuat.net,
février 2006
« Tu commences
linéaire, jusqu'à ce que tu réalises (ça
m'a pris à peine deux minutes) que c'est pas l'objet "bouquin"
habituel. C'est un "livre dont vous êtes le héros"
sans déconner ! Tu fais des choix, tu sautes des pages, mais
pas forcément vers l'avant, tu relis des trucs qui prennent
un autre sens à cause de la phrase que tu as lu avant, à
cause de répétitions ou d'altérations, il faut
reconnaître que bien peu de livres m'ont fait ce coup avant.
»
pX,
mail sur la Kant-in
4 octobre 2005, THTH invité sur le plateau de Direct
Matin sur la chaîne câblée DIRECT 8
« Gourou
parisien des incrusteurs de soirées, « THTH »
sort un livre chaotique et hypnotique » : Thierry Théolier
interviewé par Pascal Bories
Technikart,
« L’interview Alka Setzer », 1er novembre 2005
« cette extrême présence aux flux du présent
sublime ce qui aurait pu être une écriture torchée
en écriture torche dans le néant »
François Richard,
30 octobre 2005
« Un nouveau style net flash, une littérature diabolique
qui explose les barrières pour explorer le zéro et
l'infini de la Hype, derrière le démon TH se cache
l'Ange nu du net. Crevard ... De l'Enfer à Vanessa Paradis.
»
Jean-Luc Battini
(créateur du prix du cinéma "Anges & Démons"),
octobre 2005
« Etre hype ou ne pas être hype. Si cette question t’obsède
de ta première clope du matin à ton dernier rail de
C. du jeudi soir et que tu ne connais pas la réponse alors
I’ve got the fuckin' answer... »
Laurent
Bravetti, Behype.com, 19/10/2005
« bande d'ornithodrunks »
Joachim Montessuis,
Compost_23, 17/10/2005
« Tourbillon caustique où chacun en prend pour son
grade, art contemporain compris. »
Timothée Barrière, Le
Nouvel Obs, 6 octobre 2005
«
La légende anti-hype (ou même hype (disons rétro-hype))
pose son flow2bâtard sur près de 200 pages. Ce que
j'admire chez ce gars, c'est ce qu'il a inventé. Son langage
et ses codes, son image et ses tribulations festives. Longue vie
au prophète ! »
http://live-fast.blogspot.com/2005/09/baise-sollers.html
« Je
dirais qu'il rêve, rêvait d'une autre hype... »
Erwann Bleu, blog,
2 mars 2006
« Crevard
c’est un livre vivant, à cause de la cervelle de Thierry
Théolier, parce que de bout en bout on est juste dedans,
en plein dedans, dans sa cervelle et dans son système nerveux,
c’est vraiment pas très confortable, ça constitue
une expérience et ça fait mal un peu partout. Il y
a des flux et des brisures, des effets de montage, aussi, beaucoup
d’effet de montage, parce que son corps et son cerveau sont
connectés en permanence, sur la violence de l’IRL et
sur la cyberidiotie. Il a craché son existence dans ce livre,
fallait bien que ça arrive un jour, à force de boire
dans la soupière façon Bad Taste, oui fallait bien.
Il dit qu’il n’est personne, le règne du Nobody.
Il dit : « Je copyleft ma souffrance de merde », il
dit : « Un artiste n’est jamais free. Il est sous la
tyrannie de son ego », il dit : « Nous sommes les premiers
punks sans instruments ». »
« Crevard est un objet. Un objet de crevard. »
Chloé Delaume, www.chloedelaume.net,
30 septembre 2005
http://www.chloedelaume.net/rem312
http://www.chloedelaume.net/rem311
« Ce qu’il y a de viral ce sont ses idées,
son art et maintenant son livre CREVARD [baise-sollers]
chez Caméras Animales. Ce livre est un « O.L.N.I. »,
Objet Littéraire Non Identifié, un essai « d’une
nouvelle forme littéraire ». »
D. Latourte, Le Buzz littéraire,
28/09/05
« Lu Crevard
d'une traite cette nuit -comme on snif un rail avec un haaa arrivé
au bout et pupilles dilatées. Grand livre car il transcende
son sujet pour être un pavé mal ajusté, saillant,
sur la route que l'on veut nous tracer. »
Mail
Baron, www.mycroft.com.fr,
23/09/05
« Thierry Théolier, individu poilu et myope à
l'air lunaire, dandy dépravé, sdf hypé after
Punk, né comme un symbole, en 1968, est un être ultra
sensible qui, a force d'avoir baladé son œil, sa dégaine,
son originalité et son esprit critique sur les pavés
parisiens est devenu le témoin privilégié d'une
époque. Un mythe virtuel.
Il critique, invente, zone, surfe, pique, provoque, emmerde, squatte,
et jongle avec la souris comme personne avant lui. Lire du Théolier
c'est être en phase avec le monde et l'e-monde. C'est suivre
un essayiste redoutablement acéré et visionnaire.
Si l'on regarde attentivement, cet ouvrage fort bien négocié,
mis en page et en valeur, participe à l'avènement
officiel d'une nouvelle littérature. Bouquin historique à
plus d'une formule. »
Frédéric Vignale, Le Mague, septembre 2005
http://www.lemague.net/dyn/article.php3?id_article=1443
http://www.lemague.net/dyn/breve.php3?id_breve=960
« Thierry Théolier est l'outsider de cette rentrée
littéraire qui s'annonce aussi ennuyeuse que la précédente.
Hacktiviste amphétaminé du Web, Théolier a.k.a
THTH (traduire : connu également sous le pseudo de THTH)
publie son premier livre, un "report" textuel et visuel
de cette joyeuse agitation bordélique on line et dans la
"real life". Cette écriture poétique fragmentaire
voire éclatée venant du Web garde toute sa saveur
sur le papier. On ne peut pas ne pas penser à Dada en lisant
Théolier. »
Jean-Luc Bitton, http://www.rigaut.blogspot.com/
, « Un livre très Dada », 29/08/05
et http://www.chronicart.com/actu/actu_art14.php3,
« Le crevard de la rentrée littéraire »,
12/11/05
«
Finalement, malgré le désir de Néant, d'un
monde et d'un art immatériels, les traces de l'expérimentation
s'imposent : les flux de la média connexion ont donné
lieu à un langage, issu de raccourcis clavier, d'abréviations
nerveuses, d'hybridations fulgurantes, poésie du chatroom,
du texto et de l'e-mail. Thierry Théolier, un des pionniers
de la Net-écriture, aujourd'hui amoureux, rédige un
livre, intitulé CREVARD [baise-sollers] et, avec
l'amour partagé, bientôt sa publication (éditions
Caméras Animales, oct 2005). »
Christophe
Duchatelet, Palace, juin 2005
« La rentrée
des Crevards !! On parle beaucoup de la rentrée littéraire
2005 de Houellebecq mais saluons aujourd’hui une autre publication
qui apparaît bien plus sympathique et qui est celle du premier
book de THTH. »
Frédéric
Vignale, Lemague.net
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A propos de V.I.T.R.I.Ø.L.
de Arnaud Pelletier |
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La couverture de V.I.T.R.I.Ø.L. apparaît à la seconde 00:51 du clip "Jaloux de ta psychose" du groupe Le Manque.
"Arnaud Pelletier subit à la fois une décomposition
de la pensée et un effondrement de la perception de réalité
(entrecoupés de quelques extases sexuelles et vénéneuses)
sous le double éclairage de la beauté et de la mort,
la conscience du poète tantôt s'éveille, tantôt
s'anéantit entre lueurs d'espoir et désespérance.
V.I.T.R.I.O.L., subtile alchimie entre venin (la réalité)
et décomposition (l'être intérieur)."
Gérard Paris, Interventions à haute voix n°40,
juin 2007
« V.I.T.R.I.Ø.L.
d’Arnaud Pelletier : le roman-requiem pyromanesque de l’année.
Soit cinquante « tourbillons de feux furieux rimbaldiens ».
C’est-à-dire cinquante pages de braise d’une
« puissance d’effraction à peine recevable »
comme le souligne le préfacier Hubert Haddad. »
Noël Godin, Le
Journal du Mardi, 27 mars 2006
Texte de François
Richard en hommage à Arnaud Pelletier.
François Richard, La
Revue des Ressources, 12 juin 2006
« Ce
livre est écrit avec une langue en fusion, explosive. D’un
bout à l’autre, le rythme est haletant et subjugue
le lecteur. »
Christiane Rolland Hasler, Brèves
n°77, mars 2006, p.130
«
(…) un halo de paradoxale suprématie d’où
se rappelle irrépressiblement le signe des déclassés
initiés, d’avance en joue.
C’est le soir du jour où il eut en main ses deux premiers
livres qu’Arnaud est décédé accidentellement,
quelques heures après un passage artaldien à travers
la foire à la poésie ménopausée de la
place Saint-Sulpice (…). Il reste de lui dans un regard et
dans une amitié amputés une fureur, dans les mains
ces deux livres, quelques lettres, des débuts de textes indicibles
et puis la vague et l’écume d’une puissance de
commencement sans trop de précédence devenues un trou
noir. »
François Richard, « De temps en temps, chaque siècle...
», Artistasalfaix.com,
décembre 2005
« une pensée
ramassée en quelques mots d’une étrangeté
incisive et d’une précision tranchante. »
Axelle
Felgine, Hermaphrodite.com, 19 octobre 2005
«
C’est la poésie qui porte le deuil de son incandescence
funéraire. Ce mince volume est d’ores et déjà
un livre culte. »
André Murcie, Bucéphale,
10 octobre 2005
« Ce texte
plonge corps et âme dans un tourbillon dont on ne sait si
c’est la folie ou la mort qui l’active. »
Alain Hélissen, Le
Mensuel littéraire et poétique n°335,
1er novembre 2005
« Mourirs vifs ou naissance de l’écrivain »
titre l’auteur pour ouvrir son deuxième texte. Un slogan
qu’il semble avoir appliqué à la lettre pour
montrer qu’en littérature, on ne fait pas semblant.
»
Olivier Stupp, Technikart,
1er octobre 2005
"Coup de
Coeur" de Patrick Poivre D'Arvor dans l’émission
Place au Livre sur LCI, octobre 2005
«
V.I.T.R.I.Ø.L et ses Mourirs vifs, corps et cœurs phosphorescents
d’Arnaud Pelletier qui s’accomplirent à force
de métamorphoses et d’échanges, nous affirment
notamment dans les incantations de la Prière au soleil, que
nous ne mourrons que vivant ; que nous ne mourrons pas. »
Régis Nivelle, Artistasalfaix.com, 15 octobre 2005
http://www.artistasalfaix.com/revue/article.php3?id_article=713
http://www.artistasalfaix.com/revue/article.php3?id_article=714
«
Un ouvrage culte qui revêt une magie et une énergie
particulières qui dépassent de très loin les
limites de l’écriture et de la perception traditionnelles.
On pourrait parler, sans se tromper, de précognition, de
lucidité géniale, V.I.T.R.I.Ø.L donne le vertige,
étourdit par sa pertinence et sa magnifique désespérance
teintée d’orgueil, de provocation, d’amour et
d’idéal.
V.I.T.R.I.Ø.L n’épargne rien ni personne, il
se lit la peur au ventre. Sa lecture est, tout, sauf anodine. Elle
marque au fer rouge. Chant énigmatique et précieux,
prière au soleil noir, V.I.T.R.I.Ø.L est déjà
un livre intemporel, il échappe à toute logique habituelle.
»
Frédéric
Vignale, Le Mague, « V.I.T.R.I.Ø.L. : un livre culte
», septembre 2005
«
Texte posthume d’un auteur de 28 ans qui s’est brûlé
les ailes en juin dernier, ce recueil remixe tous les soleils noirs
obligés : Artaud, Lautréamont, Bataille. »
Libération,
8 décembre 2005
« Ecrit avec
une grande simplicité, une rigueur logique parfaitement lisible,
concrète. »
Dominique Drouin, lelittéraire.com,
2 décembre 2005
« Arnaud Pelletier,
ce dandy désespéré aux fulgurances géniales.
»
Hermaphrodite.fr
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A propos de Danse-fiction
de Ly Thanh Tiên |
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« Si on ne comprend pas alors que Ly Thanh Tiên
est un des artistes importants de notre temps, refermer le livre
revient à se condamner soi-même au silence. (…) Danse-fiction
est un itinéraire sans remords au fil de l’improvisation
comme art et comme fin. »
Patrick Cintas, Artistalfaix.com,
15 juin 2006
«
Ly Thanh Tiên : un artiste qui vibre avec la vie, un "sonolâtre"
constamment à l'écoute de la langue de la rue, un
franc-tireur dont les mots dansent comme les gestes : turbulents.
»
Philippe Robert, revue Mouvement n°32, p.39-40, chronique
intitulée "Sacrés"
« Des images fortes minent le texte comme des menaces («
au fond le langage n’est qu’un dealer de drogue acoustique
») et lorsque le texte exsude des bribes de souvenirs («
Ma maison soufflée par une déflagration »),
on se rend compte que la violence imprègne la vie de Tiên,
et sa vie d’artiste en particulier. Emporté par cette
bourrasque, le lecteur n’oubliera ni cette vague ni cette
musique de mots. »
Christiane Rolland
Hasler, Brèves n°74, avril 2005
« Tiên
est un artiste autodidacte pluridisciplinaire, danseur, performer
et écrivain, le tout merveilleusement inclassable. Son écriture
est faite de mots parfois savants, parfois bricolés, parfois
intrigants, mais souvent des trouvailles réjouissantes. Du
pur bonheur à se lire à haute voix. »
JM,
Jazz en Gâtine, site du festival NPAI
« Lyrique,
Pasolinien - la scansion du hasard des rencontres énonce
l’Acte et/ou le lieu de l’action dansée, comme
le Myosotis nous dit la couleur d’une saison. (...) Un balisage
dynamique-corporel de l’Espace recelant la mémoire
d’un empilage d’actes singuliers révélés
par Tiên, le Flibustier-intermédien, artisant-inventeur
du Silensophone et autres Animaxes. »
Régis
Nivelle, Ecrits-vains.com
« Ce
livre est à décrypter comme les traces graciles que
les cigognes en partance vers d’exotiques rives laissent aux
rives marneuses des marécages. (…) Danse-fiction. Si
vous aimez le vertige… »
André Murcie, Bucéphale n°6, avril 2005
« Il souffle
comme un vent de folie sur ce livre de Ly Thanh Tiên que je
vous conseille immédiatement. »
Philippe
Duarte, Undersociety.free.fr, mars 2005
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A propos de Musiques
de la révolte maudite de Mathias Richard |
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« Un exemple écrit, un cri exemplaire de l’action
de ces musiques révoltées sur nos corps, nos esprits.
»
Sylvain
Nicolino, La Femelle du Requin / site Obskür[e]
« Raison
de nous mettre à l’écoute, d’écouter
ce qu’il en est de la phrase lorsqu’elle aborde d’autres
terrains sonores ou rythmiques. »
François
Bon, Remue.net
« Ce sont de
magnifiques textes, d'une grande profondeur, une source de méditation.
C'est un vrai défi d'écrire des choses si justes sur
une expérience infiniment complexe. On se rend compte que
l'expérience musicale féconde la littérature...
Dans un monde disert, surinformé, hyper-sophistiqué,
où l'art est le plus souvent "nice and easy", il
est très difficile de savoir "écouter" et
de sentir la brutalité de ce qui malgré tout se dit,
s'écrit, se joue. »
Axelle Felgine, mail,
18/11/05
Vertigo
Mundi, d’Axelle Felgine, texte écrit dans
la proximité de Musiques de la révolte maudite
« Un livre qui constitue un chemin de traverse, une sorte
de rendez-vous, avec la musique, avec l’époque, et
au-delà avec soi et les autres. Une singulière réflexion
qui prétend moins donner un cours (défaut de tant
de ses contemporaines approches) que rendre une expérience,
juste, musicosensible, humaine tout simplement. »
Blog
Free !, “Mots, dites la révolte !”, octobre 2005
« Mais
où se cachent ceux que j’aime ? A défaut d’aimer
ces gens, j’aimerai donc des œuvres : […], la poigne
des textes de Mathias Richard et les tensions qui l’animent.
Ce qui devait se faire la quiétude d’un retour au bercail
se transforme en recherche de points limites. »
Marie-Pierre
Bonniol, Discobabel
« Mathias
Richard nous fait part d’une révolte transmuée
en véritable état de grâce. Jusque dans la lecture
du texte, il y a quelque chose de physique, c’est la fièvre
d’un passionné hors pair qui met en jeu non seulement
la musique, mais tout ce qu’elle peut accrocher au passage.»
Marie Daubert, Magic ! n°52
« Le contenu
de pages entières, puissance évocatrice de la prose
–serrée, incandescente- de Mathias Richard, aurait
pu être mis dans la bouche du Baal de Brecht. (...)
___ J’ai pensé à l’histoire d’Outis
dans le Cylindre Obscur de Onuma Némon (Ogr) – aux
souffrances et aux extases du corps de Mehdi Belhaj Kacem (sans
la posture intellectuelle) __ aussi à l’Homérique
Argo. »
Régis
Nivelle, Ecrits-vains.com
« D'une
plume gagnée par la transe, guidée par l'intensité,
l'extase et le sacré, Mathias Richard explore des champs
pas faciles, qui n'ont jusqu'à présent pas été
parcourus avec une telle fougue. »
Philippe Robert, revue Mouvement n°32, p.39-40, chronique
intitulée "Sacrés"
« (…)
c’est le chant orphique, la voix nue de Mathias Richard qui
s’élève dans ce concert disharmonique, dans
le tumulte des flots, et qui nous conte la naissance d’une
âme qui s’accouche d’elle-même, dans le
bruit et la fureur des prétextes musicaux qui présidèrent
à son rassemblement. (…) Les textes de Mathias Richard
sont à scander jusqu’à la transe vibratoire
qui les engendra. Caméras Animales n’édite pas
des livres mais des partitions. »
André Murcie, Bucéphale n° 6, avril 2005
« La musique
est un foyer sacrigène dans une civilisation sacricide.”
Mathias Richard, Musiques de la révolte maudite,
Caméras Animales. »
Philippe
Robert, Jazz Magazine n°554, article sur Robert Ayler
« Dans
ce recueil de textes, l'auteur donne ainsi à vivre au lecteur
l'expérience de la musique sur un mode extatique, de désespoir
comme d'Idéal, et érige l'onde en moyen de connaissance.
Les Caméras Animales publient ici un ouvrage aux confins
de la fureur et de l'intense et promettent ainsi des publications
futures susceptibles de bouleverser la perception des lecteurs,
au contact de tous les arts et de la littérature. Exigence
d'une démarche qui témoigne d'une approche totale
de l'Art. »
Olivier
Stroh, Zone Littéraire
« Dans
cet ouvrage atypique, l’auteur nous fait partager sa vision
de la musique, charnelle et obsessionnelle […]. Voyage au
pays des ondes sonores qui nous aident à découvrir
le monde…et soi-même. »
Site
de la librairie alternative La Pétroleuse
Plaquette
en guise d’éditorial du site Casseurs2hype
le 29 avril 2004
« Mathias
parle avec passion d'une musique qui a une réelle emprise
sur nous tous. Un très intéressant premier livre.
»
D-Side n°22
« La précision
de ses textes font mouche et nous plongent dans la moiteur de la
foule. [...] il y a une telle osmose dans ces récits qu'on
oublie toute frontière de genre. [...] A posséder
de toute urgence. »
Philippe
Duarte, Undersociety.free.fr
« Mathias
Richard se nourrit de la musique pour exister. (…) Des disques
ou des concerts de groupes aussi variés qu'uniques lui servent
de support pour montrer que l'intensité est la meilleure
arme contre le désespoir. »
Frank Frejnik, in Punk Rawk n°20, juin 2005, p.10
Emission Elektrophonie
(France Culture) par Bastien Gallet consacrée à Musiques
de la révolte maudite le 28/02/2004
Bastien Gallet y lit et commente le début, puis des extraits,
de Musiques de la révolte maudite #1
#2
Interview
de Mathias Richard par Olivier Stroh sur le site Artslivres.com,
mentions et photos de Musiques de la révolte maudite,
juin 2005.
Mathias et François Richard invités à l’émission
Des livres et moi sur Radio
Béton (93.6, Tours), à propos de Musiques
de la révolte maudite et de Caméras Animales.
Interview réalisée par Emmanuel Mazodier et Fabienne
Parduvo.
Pour écouter l'émission, télécharger
le fichier )-ici-(
[86 Mo, 1h34]
Emission Des livres et moi, Radio Béton, 25 mai 2006
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